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Nous organisons 2 à 3 sorties annuelles.


Au-delà de ces activités, notre action apporte à chaque aveugle une présence et un soutien moral, très souvent source d’estime réciproque.




COMPTE -RENDU DE NOS SORTIES


Vous pourrez retrouver les sorties de plus d'un an en page Archives.


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Déjeuner au restaurant le 25 novembre 2023



Cette année, le restaurant choisi était près de Lyon – « Chez Sophie et fils » à Rillieux - très facile d’accès en bus et en voiture.

Nous nous sommes retrouvés 51 participants pour le repas de midi, accompagnés de deux musiciens « Pierre & Chausson ».



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vue d'une partie des participants à table


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Les 2 musiciens 1 au violon et l'autre à la guitare



Excellent déjeuner : apéritif, crémeux de petits pois perlé à la menthe, chips de lard, suprême de volaille au miel, risotto crémeux aux légumes, café gourmand, le tout accompagné d’un bon côtes du Rhône et d’un viognier. Animation musicale à l’apéritif puis « quiz musical » avant le dessert. Cette animation a été très appréciée par les participants. Trois personnes se sont distinguées dont Madina Dakyo, Myriam Dellagrisa et Guillaume Mouret. En remerciement pour leur performance, les musiciens ont permis à Myriam et Guillaume de chanter avec eux.

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Guillaume chante accompagné par le guitariste



Avant de nous quitter, nous nous sommes donné rendez-vous en 2024 pour de nouvelles sorties.


Nicole Cachard



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CROISIERE FLUVIALE à DIGOIN le 9 septembre 2023


8h45 : nous sommes tous installés dans le bus et prêts à partir ! Direction la ville de DIGOIN pour une croisière fluviale sur le Canal latéral de la Loire. Nous sommes 50 inscrits, il fait déjà chaud, heureusement le car est climatisé.
Nous voilà en route direction Macon pour une première halte à Charolles, nous allons visiter la chocolaterie artisanale DUFOUX.
Cette entreprise familiale créée en 1937 par Bernard DUFOUX est composée actuellement d’une trentaine de salariés, 1200 m² sont dédiés à la fabrication.
Quel plaisir de prendre un petit café et de déguster leurs différents chocolats et autres gourmandises tout en suivant la présentation de la fabrication du chocolat !


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Les participants écoutent la présentation sur la fabrication du chocolat


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Fèves de cacao avec 1 cabosse


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3 Cabosses de taille et couleur différentes




Cette dégustation nous a mis en appétit, c’est l’heure de nous rendre au restaurant « Le Grand Canalou » situé à deux pas du port de plaisance où nous rendrons cet après-midi. Au menu : Terrine de saumon, cuisse de canard, fromage, vacherin et café.


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Les participants dans la salle du restaurant


Il est déjà presque 16h, nous avons rendez-vous au port Guichard Campionnet pour une mini croisière d’1h30 sur le canal latéral de la Loire. Ce canal construit de 1822 à 1838 permet aux bateaux de joindre aisément Digoin à Briare en longeant la Loire, fleuve navigable mais avec un débit irrégulier.
Ce canal mesure 197 kms avec un dénivelé de 97.75m et 37 écluses.



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Embarquement sur “la Ville de Digoin”


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Vue du canal depuis le bateau



Après quelques centaines de mettre de navigation, le Pont canal de Digoin nous permet de franchir la Loire pour nous retrouver sur le canal latéral, lieu de notre balade. Bientôt nous passons l’écluse N°1 (gabarit Freycinet soit 40 m de long et 5.15m de large), son fonctionnement repose sur le principe des vases communicants, c’est impressionnant.



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Au loin une écluse


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Remplissage de l'écluse



Le canal regorge de petits poissons tel que le gardon, la carpe, le goujon, le brochet mais aussi des poissons chats. Quelques canards Colvert glissent à nos côtés. La vitesse d’une péniche n’excède pas 6 kms/h, c’est une des raisons de la disparition progressive du trafic commercial, heureusement se développe une nouvelle forme de navigation : le tourisme fluvial qui permet d’admirer la faune et la flore du chemin de halage et de ses environs.

17h30 notre balade se termine, le bus nous attend, nous reprenons rapidement la direction de Lyon avec pleins de souvenirs et quelques chocolats pour les plus gourmands d’entre nous.


Claude Deregnancourt



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Sortie dans la Loire région des Hautes Chaumes le 25 mars 2023


A 8h25 nous sommes tous installés dans le bus et prêts à partir ! Direction le village de SAUVAIN dans la Loire à une vingtaine de kms de Montbrison.
Sauvain est un petit village typique des Monts du Forez. Berceau ancestral de la fourme de Montbrison, ses fromageries et son musée - que nous allons visiter - continuent de faire vivre la tradition.
Nous sommes tous heureux de nous retrouver et de passer cette journée ensemble. Après la dégustation d’un petit caramel Michoko offert par M. SING le chauffeur, nous voilà partis pour 2h de route environ. La météo est printanière, soleil et petites ondées passagères. Le long de la route la nature est belle, les champs sont de couleur vert tendre, les prunus et les forsythias sont en fleurs.
Nous débutons notre journée par la visite du Musée de la fourme et des traditions.



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Les participants avec le guide dans le musée


Ce petit musée créé en 1968 et géré par des bénévoles offre aux visiteurs une douzaine de salles d’expositions variées qui nous permettent de découvrir la vie quotidienne d’autrefois : la montagne pastorale, la fabrication de la fourme, la récolte des myrtilles, le chanvre et la laine (collection de rouets), les scieurs de long, la saboterie, la forge, la scie battante …(



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Vue chambres a coucher d’autrefois

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rouets des régions de France


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peigne pour ramasser les myrtilles

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différents sabots avec leurs outils de fabrication


Nous poursuivons notre visite, par la découverte et la dégustation de la fourme de Montbrison et de la fourme d’Ambert toutes deux fabriquées à l’entreprise laitière de Sauvain.




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le camion qui ramasse le lait dans toutes les fermes stationnant devant la fruitière.


Ces très bons fromages à base de lait de vache se ressemblent, tous les deux présentent une pâte persillée de forme cylindrique mais le savoir-faire et l’affinage sont différents. Une astuce pour les reconnaitre : -La fourme de Montbrison se reconnait par sa croûte orangée et sèche. Le fromage est égoutté sur des chéneaux en épicéa fabriqués dans le Forez, il est retourné deux fois par jour d’un quart de tour pour que l’intégralité du fromage soit en contact avec le bois, ce qui lui permet de garder sa forme et d’avoir cette couleur orangée. - La Fourme d’Ambert présente une croûte feutrée de couleur grise sous l’action des levures et des champignons, son processus de fabrication rend la présence de bleu plus marquée dans sa pâte. Après un égouttage naturel de 24 heures, la Fourme d’Ambert est salée et piquée pour aérer la pâte et permettre ainsi au bleu de se développer. Elle est ensuite lentement affinée dans des caves très humides.
Les vaches laitières pâturent plus de 150 jours par an dans des prairies situées entre 700 et 1200 m d’altitude. On retrouve principalement 4 races bovines, la Montbéliarde, la Prim’Holstein, l’Abondance et la Brune.
Nous avons pris un peu de retard sur notre planning il est déjà presque 14h, après quelques emplettes au magasin de la laiterie, direction le restaurant le Sauvagnard pour reprendre des forces.
Nous découvrons une spécialité locale : Le patia forézien. Ce plat à base de pommes de terre, de crème fraiche, de beurre est un délice. Nous terminons cet excellent repas vers 16h, trop tard pour visiter comme prévu le moulin des Massons à St Bonnet le Courreau et sa fabrication d’huile de colza grillé, nous devons reprendre la direction de Lyon mais ce n’est que partie remise car cette belle région mérite une seconde visite !



Claude Deregnaucourt


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Déjeuner au Restaurant B.Bleu à St Genis Laval samedi 26/11/2022


Cette sortie a eu un grand succès puisque nous étions 50 à nous retrouver à St Genis Laval, à quelques kms de Lyon, en pleine campagne.
Ce fut une grande joie pour tous, certains étaient des habitués, d’autres nouveaux, se joignant au groupe, étaient ravis de l’ambiance chaleureuse de cette rencontre.



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vue des participants à table


Le déjeuner fut un régal, un vrai repas de fête avant l’heure : apéritif, tourte à l’émincé de confit de canard, mousseline de dorade royale, tomates safranées, fromages secs ou blanc à la crème, assiette gourmande, gâteaux, café, petits fours.
Michel Monaco nous a enchantés avec son répertoire de succès populaires. Et chacun de reprendre les refrains, de chanter en chœur en tapant dans les mains au rythme des airs connus et appréciés de tous, de Joe Dassin, Richard Anthony, Jean Ferrat etc…
René Devinant a eu la bonne idée d’apporter sa clarinette. Il a ainsi pu jouer des morceaux avec Michel Monaco.



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M.Devinant accompagne le chanteur Michel Monaco



Les danseurs en ont profité pour s’élancer sur la piste. Les discussions allaient bon train, c’était une vraie ruche bourdonnante.



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Danseurs effectuant une danse en ligne



Mais, en cette fin d’automne, le soir vient vite. Il a fallu rentrer chez soi. Chacun a pu emporter le souvenir d’une merveilleuse journée avec la joie d’avoir fait de belles rencontres.
Nous nous donnons rendez-vous pour la réunion plénière en janvier prochain et pour de nouvelles sorties.



Monique Fessy


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Sortie la Vallée de la Noix le 11 JUIN 2022

Par un beau samedi de juin, nous sommes au complet (40 personnes) pour prendre le car dès 7h30 en direction de St Romans dans l’Isère. Au fur et à mesure que nous approchons, le paysage du Vercors se dessine avec ses magnifiques falaises de calcaire.
Nous arrivons dans l’exploitation d’un nuciculteur, dont le métier est de planter des noyers, de les tailler, les nourrir, les protéger, récolter les noix, les laver, les sécher, les trier et enfin, de les commercialiser.



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Accueil du groupe à la ferme nucicole


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Le niciculteur explique la culture du noyer


Les arbres sont taillés pour éviter que les branches ne poussent trop haut et que le vent ne les casse, mais pas trop bas pour que les tracteurs puissent circuler sous les arbres et ramasser les noix tombées. En effet, les nuciculteurs attendent que les noix tombent d’elles-mêmes, signe de leur maturité. Nous avons pu toucher les bogues de noix sur l’arbre, encore petites et bien sûr pas mûres L’exploitant nous a ensuite montré une machine, sorte de gros cylindre où les noix sont lavées (douche de 4 mn).


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une Bogue pas encore mûre


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Un cylindre de lavage des noix


Elles sèchent pendant 24 h sur des tapis, sur 3 étages à 27°-28°. Cette opération dure plus d’un mois. Les noix passent alors dans une autre machine, un « calibreur » car la qualité AOP « Appellation d’Origine protégée » Noix de Grenoble impose un certain calibre aux fruits.
L’exploitation familiale, reprise il y a 20 ans, comprenait 1000 noyers. Depuis, 3500 nouveaux arbres ont été plantés. Il faut attendre 10 ans avant qu’un noyer fournisse quelques fruits. Le meilleur rendement se situe entre 25 et 60 ans. Un arbre donne environ 25 kg de noix. Quelques arbres de la propriété ont de 120 à 130 ans.
Ce métier reste soumis aux aléas climatiques. En 2008, par exemple, la grêle a touché 96 % de la production, laquelle ne pouvait plus être vendue en AOP. Le nuciculteur, ancien commercial, a eu l’idée géniale d’utiliser les noix encore bonnes, décortiquées, pour des produits transformés : friandises à base de noix, biscuits, pâte à tartiner, vin, huile, moutarde etc… Ce fut un succès. L’entreprise a pu être sauvée. Il y a depuis une réelle demande des consommateurs.



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un auditeur, un beau chien noir, très attentif


Après toutes ces explications, nous avons pu déguster et apprécier les spécialités gourmandes. Il y eut l’affluence à la boutique pour divers achats.
Pour aller déjeuner, nous avons repris le car jusqu’au village de Pont-en-Royans. Le restaurant situé au-dessus de la rivière, la Bourne, offre un cadre splendide. Le repas fut excellent, notamment salade au bleu du Vercors, ravioles de Royans et tarte flan et noix.
Ensuite, nous avons été conduits, par une guide touristique, à admirer les fameuses maisons colorées suspendues datant du 16ème siècle, qui sont inscrites aux Monuments Historiques depuis 1944. Celles-ci sont accrochées à la falaise et dominent la rivière


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Vue de maisons suspendues


Un pont a été construit à l’endroit le plus étroit, d’où le nom de Pont-en-Royans.


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la rivière en dessous du pont


Ce village présente un intérêt touristique certain. Il a été choisi pour servir de cadre à certaines émissions de télévision. Une aire de loisirs avec cascade a été aménagée au bord de la rivière, face aux maisons suspendues. Cette rivière était poissonneuse. A titre anecdotique, un filin, entouré sur un cerceau, dont l’un est encore visible sur une façade, permettait de pêcher la truite directement depuis sa fenêtre ! Une partie de notre groupe a choisi de visiter le village médiéval malgré la chaleur mais qui n’était pas encore caniculaire : montée des escaliers en colimaçon le long de la falaise et déambulation dans les étroites rues du village. Nous avons ensuite rejoint nos amis restés à la terrasse du restaurant.
Celui-ci abrite d’ailleurs un Musée de l’eau, collectionnant plus de 15000 bouteilles d’eau différentes provenant du monde entier. Si quelqu’un apporte une bouteille qui n’est pas encore au Musée ; un repas lui sera offert par le restaurant !
Avec regret, nous quittons ce paisible village pour nous retrouver à Chatte, dans la Maison Rambert. Un film de 26 mn nous retrace l’histoire de la raviole, la fabrication de la pâte et de la farce. Cette visite s’est conclue par une dernière dégustation de ces fameuses ravioles. C’est ainsi que nous avons repris le car en direction de Lyon, la tête pleine de beaux souvenirs et heureux de nous être retrouvés par cette belle journée réussie à tout point de vue.


Monique FESSY



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SORTIE à Aix-les-BAINS du Samedi 9 AVRIL 2022


Nous prenons, ce matin-là, la direction d’Aix les Bains avec la perspective d’une montée au Mont Revard, malheureusement avec une température hivernale et sous un ciel gris et triste. Mais la joie d’être ensemble nous fait vite oublier ce détail.
Par l’autoroute A43 connue pour ses destinations montagnardes de ski, nous atteignons Aix les Bains au bord du lac du Bourget dominé par le massif de l’Epine dont le point culminant est la célèbre Dent du Chat. Ce lac, issu de la fonte des glaciers, communique avec le Rhône par le canal de Savières. Ce qui permettait, au 19ème siècle, de rejoindre la ville de Lyon en bateaux à vapeur. Et en 1983 fut construite une écluse à Savières pour réguler les crues du Rhône au moment de la fonte des neiges.
Là, un petit train nous attend pour nous faire visiter la ville d’Aix les Bains qui n’est pas installée au bord du lac mais sur les pentes du Revard où sont exploitées les sources d’eaux bienfaisantes pour les rhumatismes.



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Le groupe à bord du petit train


Nous découvrons les riches constructions du 19ème siècle, quand la reine Victoria d’Angleterre aimait fréquenter la station : le Casino, d’anciens grands hôtels transformés aujourd’hui en appartements, le parc thermal très fleuri avec son théâtre de verdure, l’Hôtel de Ville ancienne demeure des Marquis d’Aix, son temple de Diane avec des vestiges de l’époque romaine (et l’établissement thermal, actuellement en pleine rénovation, et la gare du PLM construite après le rattachement de la Savoie à la France.


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photo du Casino

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photo de l'Hôtel de Ville

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vue de la porte romaine


De retour au bord du lac, nous passons devant le grand port réservé aujourd’hui à la plaisance, suivi du petit port consacré aux petits bateaux.


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photo du petit port


Tout ce quartier est aménagé pour tous loisirs avec une grande promenade le long du lac, un parc de manèges et différents lieux de détente.
De nombreux hôtels et résidences ont été construits là pour attirer les touristes. Très jolie et intéressante promenade.

Et maintenant, en route pour la montée au Revard sous une pluie violente et glacée. Notre car se faufile avec grande adresse dans les petites rues d’Aix et tout au long de la petite route en lacets qui nous y mène. En arrivant là-haut, la pluie s’est transformée en neige et c’est dans un paysage tout blanc que nous débarquons pour rejoindre le restaurant qui nous attend pour déjeuner.

Il nous sera servi un repas typiquement savoyard avec jambon cru et diots (saucisses) au vin rouge, avant le dessert, spécialité du lieu, le cèpe glacé du Revard, construction savante de meringues, crème et chocolat.
Pendant le temps de ce déjeuner réconfortant, la neige a cessé de tomber et les nuages se sont écartés, laissant apparaître la vallée toute blanche et givrée et tout au fond le lac et sa dent du Chat.


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paysage enneigé au Mont Revard

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Vue de la vallée givrée et du lac


Vision fugitive entre deux nuages vite photographiés.
Dernière marche, prudente, dans la neige pour rejoindre le car en direction de notre visite suivante, à 800m d’altitude, sans neige, où nous découvrons, à l’Herbier de la Clappe, une exploitation de plantes médicinales et aromatiques. Ces plantes, soit cultivées, soit récoltées naturellement dans la montagne, sont séchées sur place et produisent des tisanes ou des liqueurs que nous goûterons avec gourmandise pour réaliser de petits achats souvenirs.
Puis le temps est venu de rentrer, tous bien contents de cette journée pleine d’imprévus en pensant déjà à la prochaine sortie et le bonheur de se retrouver.


Ghislaine CLAVEL


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Sortie des Auxiliaires de Lyon du 20 Novembre 2021



Nous étions une cinquantaine ce jour-là pour la 2ème sortie après cette trop longue période de confinement. Nous sommes accueillis dans un cadre exceptionnel, le domaine LYON SAINT JOSEPH ancien séminaire dans un parc somptueux de plusieurs hectares perché sur une colline dominant l’environnement.



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Vue du Domaine Saint Joseph


Nous sommes reçus dans une grande salle sur 6 tables nappées de blanc après avoir parcouru des couloirs où nous avons pu admirer de nombreux meubles, tables, secrétaires et armoires anciens et bien cirés.



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vue de la salle avec les participants



Après le kir, apéritif classique de notre région, accompagné de bouchées chaudes et raffinées, il nous est servi un repas apprécié de tous : pâté en croute de forme originalement ovale, magret de canette, fromage blanc et barrette de chocolat comme dessert. Le tout arrosé de vins blanc et rouge et suivi du café.


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les animateurs TOINOU et LOULOU


Cette belle réunion fut animée par deux sympathiques jeunes gens, qui se nomment Toinou et Loulou.


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Marc qui remplace le chanteur


Ils nous ont enchantés en nous rappelant les grands airs de notre jeunesse de Brassens, Jean Ferrat, Gainsbourg, Hugues Aufray, Jacques Dutronc et autres. Mais aussi du folklore roumain et du jazz. L’un de nous, René, s’est joint à eux avec sa clarinette, nous offrant un récital dansant qui a fait le bonheur de nombre d’entre nous.

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René à la clarinette avec les animateurs


Les amateurs de danse n’ont pas manqué de venir sur la piste pour clore cette journée délicieuse.


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des couples dansant le rock


Mais avant de nous quitter, Toinou et Loulou nous ont fait la surprise d’installer un orgue de barbarie pour enchanter nos oreilles de ses tonalités anciennes réveillant en nous de vieilles nostalgies.


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Toinou chante en faisant défiler les cartons perforés de l'orgue de barbarie


Nos amis non voyants ont particulièrement apprécié ces plaisirs auditifs et attendent maintenant la première sortie de 2022 pour renouveler ces plaisirs. En attendant, on se souhaite joyeux Noël et on se quitte le cœur rempli de bonheur.




Ghislaine Clavel


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